Novembre 2021
Frank Cassenti
Cette rencontre a été formidable. Beaucoup d’humanité, de chaleur, et de sensibilité. Ça a été de la joie et des échanges qui font du bien par les temps qui courent…Ce sera à renouveler et tu peux compter sur moi et Olivia.
Paule Courdouan
Merci à vous tous qui portent ce beau festival.
Je me suis régalée ce samedi !
J’ai été très touché par l’humilité de Frank Cassenti, son humanité, sa constance dans la passion pour la musique et le cinéma.
Il nous éclaire aussi sur les différents cinémas : les plus conventionnels, les modèles standardisés. Il est hors de ce champ, au plus près des musiciens, de leurs corps, de leurs souffrances parfois et aussi de leur joies.
« Vivre et danser » m’a beaucoup plu. Zhao, cette mère courage, obstinée et bien seule qui voudrait garder son petit opéra. Elle voit bien les changements autour d’elle. Les petites maisons détruites par le régime chinois, la construction de grands ensembles déshumanisants et au sein même de sa famille, une jeunesse déboussolée. Les danses sont très spectaculaires, lumineuses. Zhao, ne gardera au final que la pancarte du petit opéra, la fin d’un monde.
« The Whole Gritty City » est un film sur les fanfares de la Nouvelle Orléans mais il est traversé par la question sociale, un quartier déshérité, une violence endémique. Aprés Katrina, il a fallu tant bien que mal se relever et quoi de meilleur pour s’unir dans un bain de musique, démonstratif, un brin militaire, compétitif, convivial. On croise des jeunes qui ont trouvé leur instrument, leur axe, leur vitalité dans ce flot de sons. Mais les nuages reviennent, ceux qui s’émancipent, qui s’engagent dans les études, sont la cible de leurs autres camarades qui n’ont pas franchi le mur du son.
« Ciné Concert ». Je suis une inconditionnelle de Buster Keaton. Son visage de clown impassible, ses virtuosités. Un casse coup, un tendre à l’humour révolutionnaire, insaisissable, bouleversant. « La maison démontable » est un film, pour moi, ambivalent. On se concentre sur le couple, leur amour et leurs souhaits d’avoir un toit mais tout s’emballe. Est-ce par maladresse? Une belle maison peut-elle devenir un enfer ? Vaux-t-il mieux repartir sur les routes pour se réinventer?
Belle et sensible prestation de Jean Kapsa qui fait un beau parcours dans le Jazz et a fait de bons choix pour illustrer ces films muets.
Bien à vous
Hassen
Hello Jean-Pierre
A mon tour de commenter!Nous avons pris beaucoup e plaisir à participer a votre édition de CINEZIC !Le film nous a emballé, et pour ma part,a posé sur l’écran la réalité d’un espoir déjà ancien, mais toujours aussi vivace : Laissez les personnes les plus concernées d’un sujet quel qu’il soit ! En l’occurrence le BLUES !Merci pour votre accueil et le grand bonjour à toute l’équipe !
Amicalement
Jean-claude Legros
Bonjour Jean-Pierre,
Merci pour ce retour qui me fait bien sûr très plaisir. Tant mieux si j’ai contribué à la réussite de cette édition. Cela me tenait à coeur, à la fois pour la confiance qui m’avait été faite en me sollicitant pour cette soirée et aussi parce que, comme tu le sais, j’ai vraiment une affection toute particulière pour Cinézic et toute l’équipe que vous constituez. Chaque fois que je me rends à Vernoux je me sens bien parmi vous.
A bientôt.
Amitiés
Jean François VIAUD ( jazz Rhône-Alpes)
Bonjour Jean-Pierre,
Merci pour ton retour enthousiaste.
C’était un plaisir de partager cette passion de la musique durant une partie du festival en votre compagnie.
Si je suis disponible l’an prochain je reviendrais pour la prochaine édition et c’est sûr que je repasserais par l’Ardèche d’ici-là.
En tout cas, n’hésite pas à nous communiquer ta programmation dès que possible pour l’ajouter à l’agendas de Jazz-rhone-alpes.com.
Fait suivre l’information à Jazz en Vivarais pour qu’ils fassent de même et surtout si vous renouvelez une projection de cinéma durant le festival d’été.
Pascal Dérathé, le fondateur et webmaster de jazz-rhone-alpes.com nous lit en copie, il mettra à l’agendas les programmations jazz et musiques improvisée.
C’est lui qui a mis en ligne mes chroniques avec les photos et les affiches du film et du festival.
Amitiés, à bientôt.
Jean-François.